Nos animaux de compagnie, un refuge naturel à la maison

Nous avons besoin de la nature pour nous sentir complets. D’une manière ou d’une autre, le sentiment de l’avoir près de nous, de partager certains aspects de sa vie quotidienne, est vital, et le fait est que même si au cours des dernières décennies, des siècles peut-être, nous avons essayé de devenir indépendants d’elle, de la voir comme une ennemie à conquérir, la réalité est tout autre, et nous commençons à peine à la comprendre, c’est-à-dire que nous faisons partie d’elle, nous sommes la nature et nous ne pouvons pas vivre le dos tourné à ce qu’elle signifie.

D’une certaine manière, comme on dit, nous avons besoin de ce contact avec la nature, avec la partie la plus sauvage et la plus instinctive de notre être, la plupart d’entre nous le trouvent dans nos animaux de compagnie, avec l’amour, les jeux et la communication que nous ressentons avec nos chiens et nos chats.

Une communication qui augmente si l’on a recours à Izekan, des professionnels exceptionnels du dressage de chiensComme nous le savons, nous devons enseigner et éduquer notre chien comme nos parents l’ont fait avec nous, parce qu’au fond, nous ne sommes pas si différents, et comme cela se passe avec l’espèce humaine, dans les canidés, les premiers mois de la vie sont cruciaux pour le développement futur. Si vous voulez en savoir plus sur les procédures qu’il utilise, cliquez ici, ce qui vous redirigera directement vers son site web, où vous pourrez également trouver tout ce que vous voulez savoir sur notre meilleur ami des animaux.

Prendre soin de nos animaux de compagnie

Chaque animal ou morceau de nature dont nous avons la charge, celui qui nous fait nous sentir plus proches de la Terre Mère, comporte une responsabilité, et nous devons donc nous demander, avant d’adopter un animal ou une plante, si nous serons en mesure de lui offrir un véritable foyer, tout ce qu’il mérite et dont il a besoin pour avoir une bonne qualité de vie.

Dans le cas des chiens et des chats, les animaux de compagnie les plus courants, nous devrons être informés de leurs besoins fondamentaux : nourriture, vermifuge, visites chez le vétérinaire, vaccinations, et avoir des connaissances sur les maladies les plus courantes, comme les maladies parasitaires chez les chiens ou un chat avec de la morve, pour ne citer que quelques exemples.

Mais surtout avec les chiens, parce qu’ils sont plus exigeants en ce sens, nous devons garder à l’esprit qu’ils ont besoin d’un exercice physique régulier et donc d’espace pour se déplacer librement. En fonction de sa taille et de sa condition physique, il aura besoin de plus d’espace de vie, donc s’ils sont grands et que nous n’avons qu’un petit appartement au milieu, nous limiterons sa force et l’énergie qu’ils doivent développer, donc nous devrons le sortir assez souvent.

Au contraire, nous ne devrions pas surmener ou surmener les petits chiens, qui ne sont pas physiquement préparés à survivre en plein air ou qui n’ont pas besoin d’un grand espace pour courir, préférant être proches des humains, à l’abri dans la maison.

Animaux d’aquarium, autres animaux de compagnie

Nous avons tendance à commettre l’erreur de considérer un aquarium comme un objet, quelque chose de simplement décoratif, avec des couleurs, des formes et des lumières que nous trouvons très attrayantes, en oubliant que nous avons toujours affaire à des êtres vivants et que, par conséquent, ils méritent la même responsabilité, le même soin et le même respect que n’importe qui d’autre.

Ce dont nous devons tenir compte si nous voulons adopter un ou plusieurs poissons dans un bassin est sensiblement différent. La première décision que nous devons prendre est de savoir s’il y a lieu d’avoir un aquarium avec des poissons d’eau de mer ou avec poissons d’eau douceEn effet, à partir de cette décision (90 % des amateurs optent pour l’eau douce), tout l’entretien ultérieur sera déterminé et, bien sûr, le type de poisson que nous pourrons inclure.

Pour les aquariums d’eau douce et d’eau chaude (24 et 28 degrés), les poissons Molly (à voile et/ou noirs), Platis, Gupy, Neon, Red Coliseum ou Gurami sont les plus courants, car ils sont les plus résistants. Pour les aquariums d’eau froide, les plus faciles à entretenir car ils ne nécessitent pas de chauffage, nous recommandons des espèces telles que Carassius, Goldfish ou Kites, également très résistantes et faciles à entretenir.

Les plus difficiles à entretenir et aussi les plus chers sont, comme vous pouvez l’imaginer, les aquariums marins ou d’eau de mer, bien que la variété des locataires possibles soit également plus large et plus spectaculaire. En tout cas, c’est un type de vivier spécialement indiqué pour les personnes ayant beaucoup d’expérience et qui aiment leur offrir du temps et du dévouement.

Les animaux qui ne sont pas les bienvenus

Mais tout au long de l’histoire de l’humanité, il y a eu des animaux qui n’ont été bien accueillis par aucune communauté ou société, qui produisent de la peur et du rejet et pas précisément par peur d’être dévorés par eux.

Il s’agit de parasites, non pas comme le concept d’un animal qui nuit à la culture, mais comme un animal qui produit des maladies. Un parasite est actuellement considéré comme un animal ou un groupe d’animaux, appartenant à la même espèce, capable de produire des dommages économiques, généralement appelés dommages physiques, à la fois aux personnes et à d’autres animaux ou plantes, bien que, par exemple, un parasite des rats puisse également produire des dommages aux infrastructures, telles que les installations électriques ou de plomberie.

Pour les éviter, nous devons disposer d’une équipe professionnelle comme celle qui compose Cobiosan, la entreprise de lutte contre les parasites à Madrid qui est un leader et une référence en matière de lutte contre les parasites pour les collectivités, des experts en sécurité alimentaire, des spécialistes du contrôle et de la prévention de la Legionella pneumophila, et les mieux préparés pour le nettoyage des hottes et des conduits d’extraction, ainsi que pour la désinfection des installations et de tous types d’espaces.

Les nuisibles les plus dangereux et les plus courants dans les grandes villes sont actuellement les cafards, qui vivent dans des endroits insalubres comme les égouts, les poubelles non entretenues et, en général, tout espace où l’hygiène est mauvaise. Ils peuvent transmettre la dysenterie, la salmonellose ou la listériose, entre autres maladies.

Bien qu’en Espagne nous soyons habitués à leur présence, surtout dans le sud, et qu’ils représentent une menace de faible niveau, en Amérique du Sud et en Afrique ils sont porteurs de maladies très dangereuses, comme la malaria, la dengue ou la fièvre jaune.

Les rats seraient le troisième grand fléau des villes et des civilisations avancées, aussi ils habitent dans l’obscurité comme les cafards, des endroits humides et sales, avec une puissante capacité de transmettre des maladies graves aux gens ; la tuberculose, la salmonellose ou la maladie de Weil sont quelques exemples des plus dangereux.